A présent que le billet électronique est devenu la règle dans les compagnies membres de l’IATA, l’association se concentre sur un autre objectif : l’e-freight. Elle a annoncé le 25 juin que onze nouveaux pays étaient prêts à adopter le fret électronique. La France, la Suisse et le Luxembourg sont dans la liste.
La naissance du projet d’e-freight a eu lieu en 2004. Le but est de supprimer tout document papier lors du transport d’une marchandise. L’IATA (International Air Transport Association) estime que plus de trente documents en moyenne sont nécessaires à l’acheminement et sont manipulés par les compagnies, les transitaires, les expéditeurs et les douanes. Or tout ceci coûte cher et nuit à l’efficacité et à la rapidité qui doivent être caractéristiques de l’activité cargo.
Le fret électronique a donc pour but de la simplifier et de la moderniser. Six pays pilotes testent déjà le système depuis...
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